Il y avait fort à craindre que, parmi tant de sujets élevés et sérieux, auxquels comme on le sait l’auteur d’Hérodiade décida en un certain moment de son travail de se consacrer pleinement, Mallarmé ne réservât à la question de la ponctuation une place mineure, comme éloignée et presque imperceptible de ce fait dans le champ creusé de ces recherches obsédantes.
Mallarmé, La Musique et les Lettres.